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Rapport IESF

Transition énergétique : coûts, performances, flexibilité et prix des énergies

Rapport IESF


Date de création : 13/06/2013 ¤ 13:24
Catégorie : Biblio_Généralités - Transition énergétique
Page lue 122075 fois

Pour une information objective et scientifique sur le changement climatique

Manifeste pour une information objective et scientifique sur le changement climatique

Malgré l'absence d'un consensus scientifique sur les causes du changement climatique, tous les media, reprenant des argumentations développées et coordonnées par le GIEC ("Intergovernmental Panel on Climate Change" traduit approximativement, mais significativement, en Français par "Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat") enchaînent les reportages, commentaires, entretiens à propos du changement climatique et de ses conséquences désastreuses pour l'humanité à brève échéance. Toutes ces informations qui font appel à l'émotion et non pas à l'observation et à la réflexion, exacerbent la responsabilité de l'homme -effets anthropiques-, notamment via les émissions de gaz à effet de serre, CO2, méthane, résultant du développement des sociétés industrielles au cours du dernier siècle. Ce discours crée une ambiance anxiogène et irrationnelle.

Sur la base de ces argumentations, un mouvement s'est constitué ayant pour objectif de mettre en place des changements importants de société dont les contours devraient être retenus à la grande réunion internationale prévue à Paris au mois de novembre, COP 21. L’objectif principal vise à une limitation de l'augmentation des températures moyennes à 2 °C d'ici la fin du siècle contre les 4°C prévus par le GIEC, en l'absence d'actions concertées.

Ce manifeste dénonce la pression médiatique qui délivre sur le changement climatique une information fortement orientée, fréquemment fausse et contestable, à finalité essentiellement idéologique, d'inspiration "écologique", mais souvent anti-science et anti-industriel.

Ces discours catastrophistes et démagogiques sur le climat, inspirés des annonces du GIEC, organisme de l'ONU, de nature devenue politique tout en ayant une aura scientifique, s'articulent dans trois directions :

- la diffusion d'informations "sélectives" et trompeuses présentées souvent de manière tendancieuse

¤ "accélération de la montée des eaux et immersion de terres générant des flots de réfugiés climatiques" alors que les observations à travers le monde montrent une montée régulière depuis 20.000 ans de l'ordre de 2 à 3 mm/an : grotte Cosquer dont l’entrée est aujourd’hui immergée, isthme de Behring devenu détroit de Behring, Jersey devenue une île.

¤ "disparition de la banquise Arctique" annoncée suite à une fonte rapide jusqu'en 2012, mais avec "oubli" de prendre en compte sa reconstitution au cours des trois années suivantes ;  la banquise Antarctique, quant à elle, n'a cessé de croître.

¤ Chaque évènement climatique extrême, ouragan, typhon, tsunami est associé au "réchauffement" climatique, "responsable de l'augmentation de la fréquence et de la violence" de ces phénomènes, météorologiques (et non climatiques), bien que les observations rapportées par les laboratoires spécialisées s'accordent pour exclure tout changement significatif.

- l'affirmation de l'origine anthropique des processus climatiques, non prouvée

¤ Le réchauffement climatique résulterait d'un effet de serre, d'origine anthropique, généré essentiellement par les rejets de CO2 des sociétés industrielles alors qu'aucune corrélation n'a pu être établie entre les variations de températures et des concentrations en CO2. D'autres interprétations des phénomènes climatiques basées sur les rythmes solaires sont proposées, étayées par des données expérimentales vérifiables ; tout semble fait pour éviter la diffusion de ces hypothèses qui excluent la responsabilité de l’homme.

- la confiance en des modélisations mathématiques du climat, non validées

A l'inverse de la mécanique ou de la biologie, la climatologie est une science qui n'a pas encore fait ses preuves. Bien que l'application de modèles mathématiques aux phénomènes météorologiques soit contestable, des scientifiques se sont investis dans le développement de tels modèles. Tous prévoient des hausses continues de la température moyenne avec des amplitudes oscillant entre quelques degrés et une dizaine de degrés à échéance de ce siècle ; le GIEC a retenu l'hypothèse d'une augmentation de 4°C, pouvant être contenue à 2°C par la mise en place de politiques restrictives fortes et contraignantes de réduction des rejets de CO2. Cette hypothèse est devenue un leitmotiv. Concrètement, les prévisions de hausse de température données par ces simulations, pourtant revues à la baisse au fil des ans, sont en désaccord avec les observations récentes effectuées par nombre de laboratoires, notamment sur la base de relevés satellitaires, montrant une stabilisation des températures depuis 17 ans : un "hiatus naturel" avoue le GIEC qui imagine d’hypothétiques "phénomènes océaniques" pour expliquer la différence entre ses prévisions et la réalité.

Le climat change en permanence, le changement climatique est un phénomène naturel, multifactoriel, avec des causes cycliques (cycles soleil, fluctuations orbite terrestre, …) et des causes aléatoires (volcanisme, chute météorites, comètes,…).

Ce manifeste s'inscrit dans le cadre de l'omerta pratiquée de facto à l'égard de citoyens en quête de vérité scientifique. Il demande que l'ostracisme dont sont frappés les personnes abusivement stigmatisées en "climato sceptiques",  soit levé pour faire place à une discussion large, libre et ouverte. Il ne remet pas en cause les objectifs de développement durable, identifiés par les écologistes de la première heure, notamment  la préservation des ressources naturelles (eau douce), la répartition équitable des richesses au niveau mondial, la diminution des pollutions et nuisances (par exemple particules fines). Il ne saurait exempter l'homme de ses responsabilités au regard des atteintes répétées à l'environnement.

Manoël Dialinas, Ingénieur de Recherches

Jean-Charles Abbé, Directeur de Recherches CNRS

Membres du Collectif des Climato-Réalistes : http://www.skyfall.fr/?p=1611#comment-135245

Vous souhaitez vous associer à ce manifeste, indiquez le à : climatorealistes44@gmail.com

Non, la banquise ne disparaît pas dans l'Arctique !

Banquisedec2016.JPGNon, la banquise ne disparaît pas en Arctique !

Les nouvelles alarmantes quant à la surface de la banquise dans l’Arctique se succèdent : elle aurait perdue une surface équivalent de l’Inde, dixit Ouest France …

Le site

http://nsidc.org/arcticseaicenews/charctic-interactive-sea-ice-graph/

publie au jour le jour depuis 1979 la carte interactive des variations de surface de glace relevée par satellites ; s’agissant de données brutes, ces informations sont factuelles et incontestables.

Qu’observe t’on ?

Comparativement, l’année 2016 se situe globalement parmi les années de plus faibles surfaces sans pourtant atteindre des valeurs records, à l’exception de celles enregistrées depuis la fin novembre où le minimum atteint jusqu’alors en 2006 est dépassée. On note cependant que le retour à la moyenne se dessine clairement et le père Noël pourra passer sur la banquise sans problème le 25 décembre ! Il s’agit donc d’une singularité portant sur environ un mois, parfaitement expliquée par un phénomène climatique bien identifiée, n’ayant rien à voir avec les phénomènes de réchauffement climatique.

La diminution de surface est elle comparable à la surface de l’Inde - 3.3 millions de km2-, comme le proclame le journal Ouest France dans son édition du 5 décembre ? Le terme de référence n’est pas indiqué et chacun peut se faire une opinion .

Neige au Sahara. Les prémices d'une nouvelle ère glaciaire ?

Neige_Sahara.jpgPrémices d'une nouvelle ère glaciaire ? Il a neigé au Sahara

Eh,Oh ! Une nouvelle ère glaciaire est amorcée !

Il a neigé, pour la première fois depuis des années, au Sahara. Un photographe amateur a pris ces images dans la ville algérienne d’Aïn Sefra. Sous la neige... du sable. Le photographe amateur Karim Bouchetata a immortalisé, lundi, la chute de neige sur les dunes du Sahara à Aïn Sefra, en Algérie. «C’était superbe de voir la neige se poser sur le sable, et cela a donné une bonne série de photos. La neige est restée pendant une journée mais elle a fondu maintenant», a-t-il déclaré, cité par le «Telegraph».

La neige tombant sur le plan grand désert d'Afrique est un phénomène rarissime. Les dernières neiges remontaient, selon la presse, à février 1979, lors d’une tempête de neige s’était abattue sur Aïn Sefra pendant… une demi-heure

 http://www.msn.com/fr-fr/actualite/technologie-et-sciences/pour-la-premi%c3%a8re-fois-depuis-37-ans-il-a-neig%c3%a9-au-sahara/ss-BBxpRSg?fullscreen=true&ocid=spartandhp

 

Actualités

Connard !

Connard !  Oui, je suis un connard écolo réaliste, victime de la morgue et du dédain de Mme Kosciusko Morizet (le Grand Journal du 5 octobre) ! Pour une dame qui entend briguer aux plus hautes fonctions de l'Etat, cette pratique de l'invective surprend. En réalité, elle s'inscrit parfaitement dans  le comportement général de dénigrement et d'ostracisme de la part des tenants du dogme apocalyptique du climat envers les manants qui osent exprimer quelques réserves.

Oui, il faut en être conscient : il est interdit dans notre pays de s'interroger sur la validité des thèses  du cataclysme climatique même si les faits viennent jour après jour les contredire. Il faut absolument coller aux modèles climatiques qui prévoient une montée effrayante des températures et une litanie de conséquences désastreuses alors même que ces modèles témoignent années après années de leurs limites. Il est vrai que ces prévisions sont associées à un "risque" et à la pratique du conditionnel : si l'homme, grand responsable de la déchéance, ne courbe pas l'échine sous le joug de la Nouvelle Société sournoisement souhaitée par ces redresseurs de tort, le risque existerait de voir la planète sombrer dans la nuit !  Vive l'Apocalypse de Saint Jean qui relate en termes  vigoureux cette aurore nouvelle !

Connard ! Oui, je suis connard écolo réaliste !

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